le grand Noir

Les mots trainent la peine
et les larmes elles même refusent de couler.
Les souvenirs affluents,
tortures de l’âme,
des souvenirs de toi
qui reviennent malgré moi.
Toi, Le grand noir
qui de loin a toujours veiller,
ce grand noir pourquoi
il t’emmène au loin déjà ?
Pourquoi la vie prend-elle le pas
sur tous ceux que tu ne verras pas ?
Pourquoi l’impression que toujours
il manquera une musique, une oreille, une voix ?

Le chemin est long parait-il
jusqu’à la cicatrisation
des trous a l’âme, des bleus au cœur
que ton départ à laisser
mais la route continue,

show must go on,
tu nous l’as dit
et c’est ta joie, tes regards,
ce sourire qui gravés dans nos mémoires,
aideront à savoir que
de la bas nous regarde
le Grand Noir.